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19/03/2015

Attaque terroriste au Bardo : soutien au peuple tunisien ami

a-TUNISIE-640x468.jpgAlors que les députés tunisiens débattent actuellement d'un projet de loi anti-terroriste, l’horreur a frappé hier en fin de matinée aux abords du Parlement tunisien, dans le musée Bardo mitoyen de ce bâtiment de Tunis.

Au moins vingt et une victimes sont à déplorer, dont deux Tunisiens et deux de nos compatriotes. Parmi les personnes présentes dans le musée prises en otage par les assaillants, près de cinquante ont été blessées au cours de l’assaut donné par les forces de l’ordre tunisiennes. Les deux auteurs de l’attaque ont été tués pendant cette intervention.

En tant que Président du groupe d’amitié France Tunisie de l’Assemblée Nationale, j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises, sur différents medias, d’exprimer toute ma solidarité aux victimes, à leurs proches et, naturellement, aux dirigeants de ce pays et au peuple tunisien ami.

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20/11/2014

Reconnaissance de l'État palestinien: un pas vers la paix

1053437_.jpgJ'ai signé la proposition de résolution du Groupe Socialiste, Républicain et Citoyen, portant reconnaissance de l’État de Palestine, qui sera débattue à l'Assemblée Nationale le vendredi 28 novembre prochain. Je me réjouis qu'une large majorité de mes collègues socialistes se retrouve sur cette rédaction équilibrée du texte.

 

Pour consulter la proposition de résolution, suivre ce lien

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05/11/2014

Tribune*: La France doit reconnaître l’État de Palestine

690748--.jpgIl y a quelques jours, la Suède a reconnu officiellement la Palestine comme État. Sans délai, le gouvernement français doit œuvrer en faveur d’un État palestinien indépendant, démocratique, contigu et souverain.

La France a une voix qui résonne sur la scène internationale. S’engager dans la reconnaissance de l’État Palestinien, ce serait poursuivre et accroître le mouvement international qui compte déjà 135 pays. En Europe, le 13 octobre, le Parlement britannique a voté une motion en faveur de cette reconnaissance. Plus important encore, il y a quelques jours, le gouvernement de la Suède a reconnu officiellement la Palestine comme État. Demain, d’autres pays de l’Union européenne emprunteront ce chemin. La France, patrie des droits de l’homme, se doit d’être un acteur majeur d’une résolution politique de ce conflit. Aujourd’hui, sa voix doit être encore plus forte.

L’été dernier, nous avons assisté impuissants à une nouvelle escalade de violences dans la région du Proche-Orient dont l’horreur et les conséquences sur les populations civiles étaient intolérables. Aujourd’hui encore, la tension est forte à Jérusalem-Est. Vingt et un an après les accords d’Oslo, le processus de paix est au point mort. Aucune avancée significative n’a été réalisée, parce que le rapport de force entre les deux parties est trop inégal. Le jour approche où le processus de colonisation rendra irréversible tout processus de paix. Nous sommes donc aujourd’hui convaincus qu’une paix juste et durable dans la région ne sera possible que par une solution négociée entre deux États indépendants. La France doit tenir des positions justes, et constater que les critères de droit international pour une reconnaissance de l’État de Palestine sont remplis.

Sans délai, le gouvernement français doit œuvrer en faveur d’un État de Palestine indépendant, démocratique, contigu et souverain, vivant dans la paix et la sécurité aux côtés d’Israël, sur la base des frontières de 1967 : deux États reconnus par l’ONU, avec Jérusalem comme capitale des deux États.

Par cette déclaration symbolique, la France choisirait le seul camp qui vaille, celui de la paix, de la justice et du droit international. Cette reconnaissance permettra à la Palestine d’avoir plus de poids dans ses discussions avec l’État d’Israël. Cela donnera également la possibilité aux Palestiniens d’accéder à un certain nombre d’instances internationales et pourra permettre la reconnaissance pleine et entière de la Palestine à l’ONU.

L’existence d’un État palestinien, fondé sur le respect du droit international et le refus de la violence, constitue la seule garantie durable pour la sécurité du territoire israélien et de sa population.

Aujourd’hui, nous, parlementaires, soutenons toutes les initiatives à l’Assemblée nationale, au Sénat et du gouvernement, en faveur du vote d’une résolution reconnaissant la Palestine comme un État. Nous appelons le gouvernement de la France à reconnaître la Palestine.

 

Signataires :
Sylviane ALAUX, députée des Pyrénées-Atlantiques
Pouria AMIRSHAHI, député des Français de l’étranger
Christian ASSAF, député de l’Hérault
Alexis BACHELAY, député des Hauts-de-Seine
Nicolas BAYS, député du Pas-de-Calais
Kheira BOUZIANE-LAROUSSI, députée de Côte-d’Or
Jean-Patrick GILLE, député d’Indre-et-Loire
Razzy HAMMADI, député de Seine-Saint-Denis
Benoit HAMON, député des Yvelines, ancien ministre
Bariza KHIARI, sénatrice de Paris
Chaynesse KHIROUNI, députée de Meurthe-et-Moselle
François LAMY, député de l’Essonne, ancien ministre
Arnaud LEROY, député des Français de l’étranger
Michel MENARD, député de Loire-Atlantique
Christophe PREMAT, député des Français de l’étranger
Gilbert ROGER, sénateur de Seine-Saint-Denis
Jean-Michel VILLAUME, député de Haute-Saône

 

*Publiée ce jour. Pour consulter la tribune sur Libe.fr, suivre ce lien

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31/10/2014

Ensemble, réussir la nouvelle étape !

Reussir_la_nouvelle_etape.jpgNotre majorité de gauche a été élue en 2012, alors que sévissait depuis quatre ans une crise économique, sociale et financière d’une rare ampleur, crise que nos prédécesseurs n’ont pu anticiper, pas plus qu’ils n’ont réussi à juguler.

Jean-Marc Ayrault le rappelait récemment, nous n’avons sans doute pas suffisamment expliqué la situation dans laquelle nous avons trouvé la France. 2000 milliards de dette publique, dont 605 milliards imputables au quinquennat de Nicolas Sarkozy, ont d’emblée contraint notre action par une lutte accrue contre les déficits.

Nos priorités depuis deux ans vont bien entendu vers l’emploi et vers l’appareil productif afin de stimuler la croissance. L’absence de croissance ne doit pas être synonyme de repli sur soi, de régression sociale et de solidarité qui s’étiole. Depuis deux ans, notre attention est tournée vers nos concitoyens les plus modestes, ceux pour qui l’impact de la crise est le plus dur.

Nous n’en oublions pas pour autant les grands défis pour une société plus juste (éducation, sécurité, renforcement de nos territoires…) et un monde plus sûr et protecteur (transition énergétique, luttes contre le terrorisme, réorientation de l’Europe…).

En ces temps d’immédiateté médiatique, le Groupe socialiste, républicain et citoyen à l’Assemblée Nationale a souhaité publier un document que vous pouvez consulter en cliquant sur l'image ci-dessous ou ICI.

Ce livret qui retrace en 12 chantiers notre action depuis 2 ans au service des Français et de la France,  donne aussi le sens des réformes et le cap de celles qu’il nous faut encore mener pour, ensemble, réussir la nouvelle étape! 

Bonne lecture.