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05/06/2015

Un quinquennat au service de la jeunesse

PrioJeunesse.JPGPlacée au cœur du programme présidentiel de François Hollande, la priorité donnée à la jeunesse a marqué ce quinquennat, animé par l’ambition de garantir aux jeunes de mieux vivre en 2017 qu’en 2012.

Après trois années de mandat, les chiffres parlent d’eux-mêmes: ce sont désormais 85 milliards d’euros qui sont annuellement consacrés aux politiques en faveur de la jeunesse, soit une hausse de 12% entre 2012 et 2015. Ces nouveaux moyens témoignent d’une volonté politique, mais servent avant tout une ambition, celle de permettre à chaque jeune, quelle que soit son origine sociale, de se réaliser et de s’épanouir, et cela passe par trois piliers structurants: l’accès plein et entier à la citoyenneté, le droit à la formation et au travail, et enfin la découverte du Monde.  

Permettre à tout jeune d’exercer pleinement ses droits et ses devoirs de citoyen est l’une des plus belles missions qu’il nous ait été donné d’accomplir. Pour y parvenir, nous avons mis en place, depuis 2012, un certain nombre de dispositifs incitatifs, parmi lesquels figure la création d’un droit universel au Service Civique. Grâce à celui-ci, 35000 jeunes ont effectué leur service civique en 2014, pour un total de 70000 estimé sur l’année en cours. Une mobilisation interministérielle a par ailleurs été lancée afin que chaque ministère contribue à l’accueil de ces jeunes souhaitant s’engager en faveur de l’intérêt général.

En 2015, le Gouvernement a également alloué 50 millions d’euros supplémentaires à la dynamisation du tissu associatif de proximité, d’éducation populaire et du sport. J’ai par ailleurs veillé, par voie d’amendement au Projet de loi de réforme territoriale, à ce que chaque niveau de collectivité continue, demain, à prendre part au financement de ces activités structurantes pour l’éducation de nos jeunes. Enfin, les «Fabriques d’initiatives citoyennes», véritables espaces de rencontres et de montage de projets, s’articuleront désormais avec les conseils citoyens des contrats de ville, permettant aux jeunes d’occuper une place prépondérante dans la prise de décision de proximité.

Le droit de se former et de travailler, autre impératif crucial de l’action en faveur de la jeunesse, passe quant à lui par la possibilité donnée à chacun de trouver sa voie le plus tôt possible, et ainsi endiguer le décrochage scolaire. Pour ce faire, nous avons fait le choix de généraliser le service public régional d’orientation depuis le 1er janvier 2015. Permettant de mieux accompagner les jeunes dans leurs choix et leurs projets au quotidien, celui-ci se voit renforcer par le plan de développement de l’apprentissage, qui permettra aux TPE, à partir de la rentrée prochaine, de bénéficier d’une exonération de salaire et de toute cotisation sociale pour toute embauche d’un apprenti mineur.

Après avoir atteint l’objectif fixé de 150000 emplois d’avenir l’année dernière, le Gouvernement s’attèle désormais à un nouveau chantier en faveur des jeunes travailleurs, qui passe cette fois par la mise en place, au 1er janvier 2016, de la prime d’activité. Se déclenchant dès le premier euro de revenu d’activité, celle-ci sera ouverte à l’ensemble des jeunes travailleurs, quelle que soit la nature de leur contrat. 1,2 million de jeunes, contre 5000 actuellement bénéficiaires de RSA activité, seront éligibles à ce dispositif, et pourront gagner jusqu’à 130 euros de prime chaque mois.

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21/04/2015

Reprise de l’activité : les indicateurs sont au vert

redressementFrance.JPGLe Président François Hollande a été élu dans un contexte économique marqué par la crise mondiale de 2008, dont le taux de chômage à 2 chiffres et l’explosion des déficits publics étaient les stigmates les plus visibles.

En l’espace de deux quinquennats de droite, entre 2002 et 2012, la dette publique de notre pays a ainsi doublé, passant de 912 à 1789 milliards d’euros. Dès lors, nous savions que notre trajectoire budgétaire allait se jouer sur un chemin de crête, avec d’un côté l’impérieuse nécessité de réduire les dépenses publiques, et de l’autre éviter à tout prix que la France connaisse l’austérité budgétaire, comparable à celle qu’ont subi de nombreux pays d’Europe du Sud, à l’image de la Grèce ou encore de l’Espagne.

Mais n’en déplaise à nos détracteurs, après 3 années d’efforts demandés aux Français, le redressement économique de notre pays est réel en ce premier trimestre 2015, et les politiques mises en œuvre par l’exécutif depuis 2012 commencent à payer.

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20/03/2015

Elections départementales: ne laissez pas les autres décider pour vous!

Elections-departementales-2015.jpgLes 22 et 29 mars prochains, les Français sont appelés à renouveler l’ensemble des élus des Conseils départementaux. Sujets à de nombreuses mutations, le scrutin départemental en lui-même, ainsi que les compétences de cette institution ont sensiblement évolué depuis son dernier renouvellement, et il est primordial que chacun comprenne l’ampleur de ces changements pour saisir celui de l’enjeu des 10 jours à venir.

Mais il faut toutefois reconnaître que le climat actuel est peu propice à un réel débat de fond. En effet, il ne se passe pas une journée sans que l’on entende, çà et là, que les élections départementales n’intéressent personne, et que l’abstention sera la grande gagnante du scrutin. De manière inédite, les médias se complaisent même à donner raison aux futurs abstentionnistes, au motif que le Gouvernement aurait tout fait pour brouiller les pistes, en contraignant les électeurs à se prononcer sur une collectivité pour l’heure sans compétences précises.

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09/03/2015

La prime d’activité, solidarité envers les salariés les plus modestes

PRIMEACTIVITE.JPGDès janvier 2013, lors de la réunion du Comité interministériel de lutte contre l’exclusion (CILE), le Gouvernement a adopté un plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale.

La force de ce dispositif réside dans sa méthode d’élaboration qui fixe des objectifs et des actions concrètes jusqu’en 2017. En effet, il a été conçu et est porté par de nombreux acteurs, dont  l’État, les collectivités et les services publics bien évidemment, les entreprises et les organisations syndicales, mais aussi les associations et des personnes en situation de précarité qui connaissent, parce qu’elles les vivent au quotidien, les exclusions et la dureté des situations de pauvreté.

Sans revenir sur la période 2013-2014, essentiellement axée sur le volet préventif et sur l’accompagnement des personnes, une évaluation des dispositifs existants a été confiée à François Chérèque, dans le cadre de ses fonctions au sein de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS).

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